Ça fait un an. Et je pense toujours à toi.
Tu me manques.
Ce week-end, j’ai voulu numériser quelques photos prises avec un appareil argentique. J’ai donc fouillé mon grenier, et retrouvé mon scanner Epson Perfection 1670. J’ai pris mon courage à deux mains, et j’ai essayé de faire fonctionner tout ça sous linux. Le scanner n’étant pas récent, il devait bien exister une solution qui fonctionne.
Cette solution porte le nom de Sane. Ce logiciel (dont l’interface graphique est Xsane) permet d’utiliser un scanner branché en usb sous linux. Il est normalement disponible dans votre gestionnaire de paquets (pacman pour moi). Une fois le bouzin téléchargé, je m’attendais à devoir triffouiller comme un bourin pour faire fonctionner le tout. Sauf que non. Il suffit d’avoir le driver du scanner, de spécifier à Sane où-est-ce qu’il se trouve, et ça fonctionne, à condition que votre utilisateur fasse partie du groupe scanner. Le driver prend la forme d’un .bin et il est parfois (souvent, j’ai lu) livré avec le cd de pilotes du scanner. Et s’il n’y est pas, paraît-il qu’on peut l’extraire du .cab avec quelque logiciel sous windows. Pour ma part, j’ai trouvé le fichier correspondant au Epson Perfection 1670 (esfw30.bin) sur le net. Je ne le diffuse pas ici, puisque c’est un machin propriétaire.
Une fois le binaire trouvé, éditez le fichier /etc/sane.d/snapscan.conf et cherchez la ligne contenant le mot firmware. Indiquez-y le chemin vers votre binaire, et ne touchez à rien d’autre.
Lancez ensuite Xsane, et il détectera normalement automatiquement votre appareil. Et le truc magique, c’est que GIMP dispose d’un greffon Xsane, qui permet de créer une nouvelle image à partir du scanner, directement. Linux, c’est génial. Notez que tout ça ne fonctionne que si Sane prend en charge votre scanner. Leur site officiel comporte une liste du matériel supporté, que je vous conseille de consulter.
Bon, maintenant, il y a encore quelques concepts étranges qu’il faut que j’élucide, comme la qualité/précision du scanner qu’on peut régler en dpi, et qui donne des fichiers image de plus de 700Mo quand on règle à 1600 dpi. Maybon, on peut pas tout savoir, dans la vie.
Pendant ce temps, sur la terrasse, y’a du soleil.
Loading Likes...… et bien la voilà. Bon, en fait, Mimiryudo voulait une todo-list, pour la pourrir de trucs à faire, légitimes ou pas. Certains connaissaient déjà mon bugtracker; j’ai modifié la plateforme pour y ajouter un projet visible et éditable par tous. N’importe qui, enregistré ou non, pourra me laisser une tâche à faire.
Je vous ai promis de faire quelque chose et vous ne voulez surtout pas que j’oublie? Ajoutez une tâche à ma liste, je recevrai un mail pour me rappeler de la faire. Pour l’instant, il n’y a pas beaucoup de catégorie, mais j’en rajouterai selon le besoin.
Voilà, ça sert à rien et c’est fun (pour certains). Ça se passe donc sur mon bugtracker. La liste est affichée par défaut sur l’accueil, mais si vous voulez le lien direct, c’est là.
Sinon, il se passe plein de choses chez mon ami d’en face. Ça a l’air bien, mais je n’ai pas encore eu le temps d’y jeter une oreille.
Loading Likes...Comment ça, la magie n’existe pas?
Ceux qui le prétendent n’ont sans doute jamais écouté jouer le guitariste Andy McKee. Guitariste américain originaire du Kansas, haut d’une trentaine d’années, Andy McKee est passé maître dans l’art du tapping et autres techniques de guitare percussive. Des compositions qui nous emmènent planer des kilomètres au dessus du monde, l’espace de quelques instants. Qu’elles soient douces et calmes ou enlevées au rythme des percussions effrenées de ses mains sur le corps de son instrument, celles-ci font mouche.
On en oublierait presque qu’il n’y a pas de chant. Un excellent moment à passer.
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